Pendant plus d’un an, nous avons résidé dans un petit village de Tarentaise. Son nom ? Granier. Un village des Alpes qui s’accroche aux pentes raides du Beaufortain à 1250 m d’altitude. Idéalement situé sur le Versant du Soleil (au-dessus de la petite ville d’Aime), il fait face au vaste domaine de La Plagne et du massif de la Vanoise. Nous avons eu le bonheur de découvrir ce magnifique coin de Savoie pendant les quatre saisons de l’année. Le plus beau village des Alpes. Vraiment ? J’avoue ne pas être impartial… comme tout le monde : n’importe quel villageois va toujours trouver son village plus beau que celui du voisin ! Laissez-moi vous le présenter. Qui sait, un jour vous y passerez peut-être vos vacances…
L’arrivée à Granier-sur-Aime
En arrivant à Moûtiers par la RN90, vous atteignez Aime-la-Plagne à l’issue d’une série de défilés avec à-pics et falaises. Puis, à Aime, vous empruntez une route de montagne (D218) en passant par les villages de Villaroland, Tessens et La Thuile.
Peu à peu, les paysages époustouflants se succèdent : le versant de La Plagne, le sommet de Bellecôte, le mont Pourri et les Alpes Grées à la frontière avec l’Italie.
Le village de Granier et le mont Granier !
Il ne faut pas confondre Granier-sur-Aime (communément appelé « Granier ») et le mont Granier, tous deux situés en Savoie.
Le mont Granier est un sommet situé au nord-est du massif de la Chartreuse. Visible depuis Albertville, la montagne domine la vallée du Grésivaudan, la combe de Savoie et la cluse de Chambéry. Le mont Granier est le site d’un effrayant glissement de terrain qui engloutit 5 paroisses (dont celle de Granier), faisant des milliers morts en 1248.
Le village de Granier-sur-Aime
Abritant un peu plus de 360 habitants permanents, Granier n’est pas un gros village touristique dans lequel vous passerez des heures à arpenter ses ruelles. Et pourtant, je vous conseille de laisser votre voiture stationnée à l’entrée pour le découvrir.
Granier est un village typique de Tarentaise avec ses ruelles étroites, ses fontaines, ses moulins, ses fours à pain et ses lavoirs. Pour mieux l’explorer, il suffit de sortir des sentiers battus, à savoir la rue principale.
Des maisons serrées les unes contre les autres
Vu du versant opposé de la vallée (l’ubac, côté La Plagne), on remarque combien les maisons sont serrées les unes contre les autres comme un troupeau de mouton. Cette concentration permettait de laisser les meilleurs terrains aux cultures.
Granier se trouve à l’adret, au soleil. Au bon endroit donc pour profiter du soleil.
Les maisons et leur impressionnante toiture
Vous découvrirez les immenses maisons typiques du village. Elles servaient autrefois de logis, d’écurie et de grange.
Si les maisons des Alpes de Savoie possèdent des caractéristiques qui sont propres à leur vallée, celles de Granier s’apparentent à la Tarentaise.
L’impressionnante taille de la toiture déborde de la façade. Le toit permet ainsi de protéger les balcons ainsi que la circulation des résidents autour de la maison. Autrefois, on ne trouvait pas d’escaliers à l’intérieur des maisons. On accédait d’un étage à l’autre par des trappes. Comme la face nord de la maison était à demi enterrée, il était plus facile d’accéder à certains étages, parfois de plein pied.
Des toits peu pentus
Remarquez combien les toits sont peu pentus.
Cela permet de retenir la neige sur le toit. Car une bonne couche neigeuse est un bon isolant thermique !
La face Nord, on l’a dit, était à demi enterrée car les maisons du village ont été construites sur une pente forte. Pour se protéger du froid, les murs étaient épais et percés de petites fenêtres.
La façade plein Sud des plus grandes demeures est ornée d’un cadran solaire. De longs balcons permettaient de faire sécher et mûrir les céréales et les légumes.
Immédiatement sous le toit se situe l’immense grenier où l’on stockait les récoltes et gardait le fourrage pour nourrir les bêtes l’hiver. D’où le nom du village de Granier qui, selon toute vraisemblance, dérive du mot « grenier » !
Le mazot du Beaufortain
Dans le Beaufortain, une petite maisonnette de bois ou de pierre était construite à l’écart de la maison. Ce grenier s’appelle le mazot.
On y stockait des vivres (céréales, légumes, jambons), du linge de maison et des vêtements, ainsi que des papiers importants et des bijoux. Le but était de protéger ses biens des incendies qui n’étaient pas rares.
A Granier, quelques exemplaires de ces maisonnettes sont encore visibles même si leur présence ne semble pas avoir été la norme.
L’église Saint-Barthélémy de Granier-sur-Aime
L’église de Granier se démarque des autres sanctuaires environnants de par son clocher élancé et gracieux. Contrairement aux églises de la Côte d’Aime, de Macot, de Bellentre ou de Landry avec leurs beaux clochers à bulbe, celui de Granier est surmonté d’une flèche.
L’édifice est entouré par un vieux cimetière.
Un peu d’histoire…
Auparavant, Granier faisait partie de la paroisse d’Aime. Elle devint paroisse à part entière en 1344. L’église actuelle fut édifiée entre 1535 et 1537 puis rénovée à de nombreuses occasions (1670-1673, 1758 pour le clocher).
La serlienne de l’église !
La façade du porche d’entrée est somme toute assez sobre. Elle est percée par une serlienne. Il s’agit d’une triple baie constituée d’une haute ouverture encadrée par deux plus petites. Les baies permettent d’éclairer d’une lumière naturelle la tribune du sanctuaire.
A l’intérieur de l’église
Sur les piliers de la nef se trouvent trois grandes peintures murales anciennes : Saint Jean, Saint Jacques et Saint Grégoire.
La petite chaire date de 1785.
La limite entre la nef et le chœur est marquée par une « poutre de Gloire » comprenant trois grandes statues :
- Jésus-Christ sur la croix,
- l’apôtre Jean à gauche et
- la Vierge Marie à droite.
L’église de Granier est renommée pour ses trois retables baroques, classés par les Monuments historiques depuis 1992.
Le maître-autel du chœur
Le maître-autel du chœur date de 1679 et est dédié à Saint Barthélémy (patron des bouchers et des tanneurs).
La partie supérieure du retable comprend un tableau très réaliste montrant le martyr de l’apôtre (il fut écorché vif).
La statue à droite représente Saint Grat portant la tête de Jean-Baptiste.
Tout en haut se dressent les statues de Saint Sébastien et de Saint Maurice.
Sur la peinture centrale (1706), la Vierge à l’Enfant est entourée de Saint Barthélémy et de Saint Nicolas.
Prenez le temps d’observer les nombreux petits détails du retable : les motifs décoratifs, les trois paires de colonnes torsadées, les angelots…
Les nefs latérales se terminent par des retables similaires mais plus petits.
On doit ces magnifiques retables au sculpteur italien Jacques-Antoine Tedesco.
Une église fragilisée…
Ce qui surprend aussi à l’intérieur, ce sont les tirants métalliques qui ont été installés pour protéger les murs porteurs d’un trop fort écartement. L’édifice a été construit sur une forte pente et sans eux, menacerait de s’effondrer !
Autour du village de Granier-sur-Aime
On trouvait de nombreux chemins autour du village. Ils traversaient les vergers et les champs puis conduisaient aux forêts et aux alpages. Beaucoup ont disparu sous les buissons ou suite au remembrement des terres. Ou bien ils ne sont plus entretenus par les villageois.
Les terrasses du village
A cause des terrains en pente, les villageois ont construit des terrasses soutenues par des murets en pierre. Il s’agit des murs de soutènement. Des canaux d’irrigation (les biefs) ont été creusés pour fournir en eau les champs et les fontaines du village.
On retrouve ces canaux d’irrigation autour du village, notamment dans les prairies sur les hauteurs.
Autrefois, les terres cultivées s’étendaient encore plus loin. Mais, comme partout dans la France rurale, il y a de moins en moins d’agriculteurs et de bergers pour s’occuper de ces parcelles cultivées. On retrouve ainsi les traces des murs de soutènement dans les sous-bois.
Il y a encore 50 ans, la plupart des villageois pratiquait une agriculture vivrière. En fait, il produisait de tout (céréales, produits laitiers, viande, vin, fruits…) et en petite quantité. Cela permettait à la population de vivre en quasi autarcie.
Quelques plaisanteries de bon aloi !
Dans certains villages de Savoie, on plaisantait volontiers sur la raideur des pentes :
- Pour éviter de perdre l’équilibre, les chiens devaient s’asseoir avant d’aboyer.
- Les pattes des poules étaient serties de crochets.
- Pour semer les graines sur un tel terrain, il fallait se poster au village d’en face puis tirer les grains de blé au fusil sur son champ.
Le hameau du Noyerai : noix et vignes
Essaimés entre 850 et 1000 d’altitude, en contrebas du village, se trouvent des hameaux composés de maisons construites il y a plus d’un siècle : Le Noyerai-d’en-Haut, Le Noyerai-d’en-Bas, Chambernard.
A cette époque, les habitants de Granier, qui possédaient ces parcelles éloignées du village, ont édifié des bâtiments pour stocker sur place les récoltes de foin et de blé.
De l’huile de noix
Voyez le nom de ce hameau : le Noyerai. Sans surprise, on y trouve des noyers ! En effet, les habitants des villages de moyenne montagne baignant dans le soleil y faisait pousser des noyers. La noix servait à plusieurs usages.
- On en faisait de l’huile en la broyant au moulin à huile.
- Les meubles et les tissus étaient teints avec le brou de noix.
- Les cerneaux servaient à concocter du vin de noix ou de l’infusion.
- Enfin, le bois du noyer était employé dans la fabrication de magnifiques meubles.
Un vignoble autrefois important
Mais on n’y plantait pas seulement des noyers. La vigne recouvrait de grandes surfaces jusqu’au milieu du siècle dernier. La production viticole satisfaisait la consommation personnelle des villageois. Et on la vendait à l’extérieur du canton.
Chaque famille possédait quelques parcelles de vigne et produisait son propre vin. Aujourd’hui, la vigne est de retour grâce à des passionnés.
Chapelles et oratoires
On recense plusieurs chapelles et oratoires dans l’ancienne commune de Granier. Certaines sont proches du village. D’autres se découvrent après une longue marche dans les alpages.
La chapelle Saint-Grat se situe à la sortie du village en direction de La Côte d’Aime par la combe de l’Ormente (D86A). Elle est dédiée à Saint-Grat, qui est en Savoie, le protecteur traditionnel des récoltes. Un panneau fixé au mur de l’entrée nous informe que Georges Collomb, enfant du pays, est devenu au 19e siècle évêque de la Mélanésie française. A travers les vitres poussiéreuses de chaque côté de la porte, vous pourrez apercevoir l’intérieur et son retable.
La table d’orientation
Prendre la direction du Cormet d’Arêches sur 300 m après la sortie du village. La table d’orientation offre une vue magnifique sur le massif du Cheval Noir, les domaines de La Plagne et des Arcs, le sommet de Bellecôte, le mont Pourri et les Alpes Grées. En contrebas, la vallée de la Tarentaise, les alentours d’Aime et Macôt-la-Plagne.
La forêt et le sentier du bief
En continuant la route qui monte vers Laval, on arrive au lieu-dit de Prachanié. En hiver, c’est l’entrée de l’espace nordique créé autour de l’ancien téléski. La vue sur la vallée de la Tarentaise est magnifique.
A partir du parking, les prairies laissent la place à la forêt de résineux et de conifères, essentiellement composée de sapins et d’épicéas.
C’est ici que se trouve le sentier du bief qui suit le petit canal d’irrigation.
Un endroit charmant qui mérite d’être arpenté au moins une fois pendant un séjour à Granier !
Le hameau de Laval et le Plan Pichu
La route vers le col de montagne du Cormet d’Arêches traverse la forêt avant d’atteindre les alpages du hameau de Laval.
Vous pouvez laisser votre véhicule à cet endroit et continuer à pied le long du chemin (raide !) à gauche de la cascade.
La chapelle la plus haute de la commune !
La chapelle qui surplombe la cascade est la plus haute de la commune (1940 m). Fondée en 1684, elle est dédiée à Saint-Guérin, le protecteur des troupeaux. On l’appelle aussi Notre Dame des Neiges, Sainte-Marguerite ou encore Notre Dame-des-Neiges.
A proximité se trouve un sentier botanique. Les panneaux d’information disséminés tout autour de la chapelle vous permettront de découvrir comment vivent la faune et la flore sur ces terrains de montagne, ainsi que l’interaction de l’homme.
L’alpage du Plan Pichu
Une fois arrivé en haut, voici l’alpage du Plan Pichu. Ces pâturages s’étendent sur les montagnes du Beaufortain. Vous croiserez en été des vaches laitières de races tarine et abondance, regroupées en 3 troupeaux de 110 têtes. Elles sont traites sur place deux fois par jour. 7 bergers s’en occupent pendant les 100 jours d’estive.
Le lait, produit chaque jour, est transformé au chalet de fabrication de Plan Pichu. Le résultat ? Un gros fromage à pâte cuite : le Beaufort. Ce fromage A.O.C. est aussi appelé « le Prince des Gruyères ».
Le chalet de fabrication du Plan Pichu se visite tous les jours (se renseigner auprès du Syndicat d’Initiative de Granier).
Le refuge de la Coire et le Cormet d’Arêches
A une vingtaine de minutes à pied, se trouve le chalet refuge de la Coire. Cet ancien chalet d’alpage a été restauré et transformé en refuge par le Club Alpin Français.
Enfin, encore plus haut, le Cormet d’Arêches (2107 m) est le nom donné à ce col qui fait communiquer la Tarentaise aux vallées du Beaufortain.
Les alpages du Verraret et de Thiabord
A partir de 2000 mètres, un chapelet de hameaux occupe les hauts-pâturages. Les chalets d’alpage du Verraret, de Thiabord-du-bas, de Thiabord-du-Haut, de Pra-Spa et de Pra-Plan étaient habités par les anciens à la belle saison. Aujourd’hui, certains sont restaurés par les gens du village pour leur plaisir ou celui des vacanciers. En contrebas de La Roche à Thomas, les alpages vous promettent une vue époustouflante sur la vallée de la Tarentaise et les sommets enneigés du massif de la Vanoise (Grand-Bec, Grande-Casse, Mont Pourri).
Les villages et sites à découvrir autour de Granier-sur-Aime
Granier-sur-Aime est une base idéale pour explorer la Moyenne Tarentaise entre Moûtiers et Bourg-Saint-Maurice.
- En hiver, Granier est proche des stations de ski de l’espace Paradiski (La Plagne, Peisey-Vallandry et Les Arcs).
- En été, vous adorerez vous promener dans le Beaufortain et la Vanoise, eux aussi tout proches ! De plus, en juillet, la petite ville de Aime est souvent traversée par le Tour de France (comme en 2018). La commune a été ville étape en 1995 et en 2002.
En toutes saisons, j’aime emprunter la route d’Aime à Bourg-Saint-Maurice par les coteaux nord de la vallée (D86A/D86). Les habitants le surnomment le Versant du Soleil. Il porte bien son nom car l’exposition de ce versant de la Moyenne Tarentaise fait qu’il est baigné de soleil toute la journée.
Sur les chemins du Baroque
En suivant cet itinéraire (le top c’est avec des vélos à assistance électriques), vous traverserez de charmants villages de montagnes dont les églises renferment des trésors de l’art Baroque local : Tessens, Granier bien sûr, La Côte d’Aime, Valezan, Les Chapelles et Vulmix.
Et ce n’est pas tout : la route est un véritable belvédère sur la vallée de la Tarentaise et les sommets enneigés du massif de la Vanoise et des Alpes Grées à la frontière avec l’Italie.
Pour en savoir plus…
- Le syndicat d’initiative de Granier se situe près de la mairie – Site web. Il fait office de petite épicerie du village et de dépôt de pain. Ouvert généralement du mardi au dimanche matin de 8h à 9h30 (Fermeture le lundi).
- L’Office de Tourisme de la Plagne Vallée vous accueille au 1139 Avenue de Tarentaise (en face de la mairie et à proximité de la basilique Saint-Martin) – Site web. Vous y trouverez de nombreuses brochures touristiques sur la région, un accueil avec le sourire et une carte interactive en 3D du domaine de la Grande Plagne absolument bluffante (Aimée, 5 ans, a été conquise !)
- Des TER s’arrêtent en gare d’Aime sur la ligne reliant Albertville à Bourg-Saint-Maurice via Moûtiers.
- Le marché hebdomadaire d’Aime-la-Plagne a lieu tous les jeudis matins et se tient sur une partie de la rue de la poste.
Distances de Granier-sur-Aime
- Aime : 10 km
- La Plagne : 27 km
- Moûtiers : 23 km
- Bourg-Saint-Maurice : 22 km
- Albertville : 50 km
- Aéroport de Lyon : 184 km
- Aéroport de Genève : 139 km
Trouver un hébergement à Granier
On trouve plusieurs options d’hébergement dans le village, y compris des gîtes et des chambres d’hôtes.
En octobre 2022, nous sommes restés dans le gîte L’Ormelune que je vous recommande si vous souhaitez profiter d’un inoubliable séjour sur le Versant du Soleil.
Il s’agit d’un gîte à l’étage dans la maison des propriétaires avec entrée indépendante. L’accueil des propriétaires était des plus chaleureux et Marylène était très serviable.
Ce gîte confortable et bien équipé était parfait pour nous qui aimons les belles vues. En effet, le balcon abrité offre un splendide panorama sur le massif de la Vanoise (La Plagne et Les Arcs) et la vallée de la Tarentaise.
Notre fille Aimée a adoré le chalet et entendre le tintement des cloches des chèvres et des vaches en contrebas !
Pour voir des photos de l’intérieur du gîte et réserver votre séjour au gîte de l’Ormelune à Granier, cliquez ici.
Le livre sur le patrimoine religieux d’Aime-la-Plagne
Pour compléter la visite de Granier-sur-Aime et la commune d’Aime-la-Plagne, je vous recommande le livre Eglises et chapelles de la commune d’Aime-la-Plagne par Pascal Laille. Grâce à cet ouvrage, vous découvrirez nombre d’églises et chapelles de la commune d’Aime-la-Plagne et leurs fantastiques trésors architecturaux. Pascal est un passionné d’histoire, guide conférencier des villes et Pays d’Art et d’Histoire ainsi que Guide du Patrimoine des Pays de Savoie.
Le livre Eglises et chapelles de la commune d’Aime-la-Plagne est disponible à l’Office de Tourisme de la Plagne-Vallée (avenue de Tarentaise) ainsi que dans plusieurs librairies de la région.
Quelques photos de Granier-sur-Aime !
Quelques photos de mon village préféré des Alpes prises en automne et en hiver…
Si vous avez apprécié mes articles ou s’ils vous ont été utiles, n’hésitez pas à les partager sur Twitter ou Facebook. Cela me ferait super plaisir, et en plus cela me motive à continuer à en écrire davantage ! 🙂
Inspiré par la lecture de cet article sur Granier-sur-Aime ? Quelques épingles pour Pinterest :
Bonjour Pierre,
Quelque soit l’endroit c’est toujours un plaisir de découvrir tous les reportages.
Bon courage en cette période difficile, bien amicalement
Danielle
Merci Danielle ! oui, ce qui me motive, c’est l’envie de montrer les belles choses dans notre pays 🙂 A bientôt !
Bonjour,
Je connais très bien cette région de Tarentaise et de Vanoise; je suis très souvent en face de Granier, à Montalbert.
Très beau reportage sur ces coins que je parcours chaque été (Laval; Plan Pichu; Cormet d’Arèches, col du Coin; etc…); merci je vais en faire profiter quelques amis qui connaissent et apprécient également.
Bonne continuation, bon courage, et prenez bien soin de vous et de vos proches.
Bien amicalement,
Bernard.
Merci beaucoup Bernard pour votre sympathique commentaire ! Les alpages de Granier autour de Plan Pichu sont effectivement très beaux et j’ai hâte de les revoir ! A bientôt.
Bonjour Pierre,
Merci pour tous vos reportages que j’apprécie encore plus en période de confinement
Le rendez-vous du dimanche matin est précieux
Prevez soin de vous
Chantal, une lorraine
Avec grand plaisir Chantal ! Bonjour à vous en Lorraine !! 🙂
Merci pour ce beau reportage qui, en cette période de confinement, nous apporte une bouffée d’oxygène très appréciée pour nous citadins. Vivement le plaisir de retrouver cette belle nature !
Merci Jocelyne, oui nous avons hâte !
Merci, Pierre, toujours aussi intéressants vos reportages, j’ai été subjugué par la beauté de cette petite église, c’est tout simplement fantastique. Les paysage et les petits biefs sont un peu des Vosges en plus grand.
Continuez à nous faire rêver à notre belle France. Prenez soin de vous en cette période néfaste de l’année.
Merci beaucoup Joseph pour votre message ! En Tarentaise, on se régale avec ces pépites d’art baroque… presque chaque village possède une église avec un retable joliment décoré dans ce style. Bon courage à vous également et à bientôt !
Merveilleux ! Merci Pierre pour toutes ces informations.
Merci à vous ! ?
bonsoir PIERRE
très jolies photos d’un endroit que je ne connais pas mais vous nous donnez très envie de le découvrir .
je suis allée en vacances à AIME il y’a bien longtemps mais je ne me souviens pas de ce charmant village .
MERCI de nous faire voyager dans cette période très difficile et troublée .
le Grand Est souffre énormément de cette pandémie et nous comptons déjà des milliers de morts .
j’ai perdu ma grand mère de 107 ans la semaine dernière de ce satané virus .
C’est une hécatombe dans les EHPAD en Lorraine
PRENEZ BIEN SOIN DE VOUS ET DE VOS PROCHES
Merci Evelyne pour ce message attentionné. Recevez mes condoléances pour votre perte. J’espère que les choses s’amélioreront plus rapidement qu’on ne le pense aujourd’hui. Il nous faut garder espoir ! A bientôt !
Bonjour Pierre
Merci pour ce détail sur ce petit village que je ne connais pas. Je découvre des endroit intéressants, la période ne me permettant pas de me déplacer je mets tout cela de côté afin de m’y rendre.
Il ne me semble pas être très loin car je passe assez souvent à Arêches-Beaufort lorsque je vais faire des balades du côté du barrage de Roseland, je pense que ton village n’en est pas loin ?
%erci pour toutes ces belles choses qui donnent bien envie en ce moment.
Bonne continuation
@lain
Merci Alain d’être passé sur le blog ! Oui, Arêches est juste de l’autre côté du « Cormet d’Arêches ». Ce col fait communiquer la commune d’Arêches à celle du village de Granier (Aime-la-Plagne). Pour éviter de faire le long détour par Bourg-Saint-Maurice et le cornet de Roselend, on peut suivre la route en voiture en été mais certains endroits ne sont pas goudronnés. Bien cordialement !
Je connais très bien mais sa a bien changé j allait tous les ans et parfois trois fois par an à la thuile je regrette de ne pas trouvé des photos de la chapelle et du village de la tuile je logeai au trèfle à quatre feuilles
Je voudrais revoir tous ça
C’est en effet un très beau village (La Thuile aussi !)… j’ai également hâte d’y retourner faire une visite !
Bonjour Pierre,
Contrairement à ce que vous affirmez en début d’article vous n’êtes pas impartial mais partial et cela se comprend bien.
En effet ce petit village est magnifique et je vous remercie pour vos articles qui nous font si bien voyager.
Cordialement
En effet, c’était une petite erreur d’inattention – j’étais bien sûr partial dans mes propos ! 😅