Vous connaissez certainement le fameux bretzel alsacien pour l’avoir dégusté en apéritif ! Ce petit pain couvert de gros sel, en forme de nœud avec ses bras entrecroisés. A l’évocation de cette pâtisserie salée à la croute dorée, on a des images d’Alsace et d’Allemagne plein la tête. C’est une des gourmandises vedettes des marchés de Noël. On le déguste sur place, assis au comptoir d’un chalet ou en marchant. Mais que ce soit en Alsace, en Allemagne ou en Autriche, le bretzel est la collation parfaite pour une petite pause gourmande… pour peu qu’on soit d’humeur « salée » ! Dans cet article, nous allons apprendre quelques faits anecdotiques et histoires sur ce symbole de l’Alsace.
Et en bonus à la fin de cet article : je vous raconte la folle histoire du bretzel alsacien… que vous pouvez télécharger gratuitement en eBook.
Le bretzel : alsacien ou allemand ?
Pour les uns, le bretzel est alsacien. Pour les autres, il est allemand.
Mais pour moi… il est germanique !
J’aime ce mot « facile ». Il englobe les anciens Pays allemands, dont faisait partie l’Alsace.
Pour compléter, le bretzel est une gourmandise que l’on retrouve surtout dans les Pays allemands du sud (Alsace bien sûr, mais aussi – et surtout – le Rhin supérieur, la Souabe, la Bavière, la Suisse alémanique et l’Autriche).
De tendres souvenirs d’enfance
Pour ma part, j’ai un rapport sentimental avec le bretzel remontant à mon enfance en Allemagne.
Pendant près d’une décennie, nous avons résidé à Spire (Speyer), en Rhénanie-Palatinat. Une ancienne cité impériale sur les bords du Rhin, célèbre pour sa grande cathédrale romane, son temple protestant de la commémoration, son musée technique et… ses bretzels !
Car Spire est une des capitales du bretzel.
Là-bas, le bretzel est une véritable institution – d’ailleurs, on le célèbre lors de la Brezelfest (la fête du bretzel). Il s’agit d’un événement phare dans la région du Palatinat qui se tient en juillet. C’est une grande kermesse populaire, accompagnée d’une fête foraine avec de nombreux manèges, des défilés de chars et des concerts. Et clou du spectacle, un feu d’artifice autour du 14 juillet.
Les gros bretzels bien frais se vendent dans de petites cabanes en verre teinté le long de la Maximilianstrasse, la rue principale de Spire.
Je me vois encore enfant, achetant un bretzel pour quelques dizaines de pfennigs, pour le grignoter dans la rue. Ca, c’était dans les années 80 !
Le bretzel : une histoire de symbole
Il n’y a qu’à voir le logo de l’Alsace pour s’assurer de l’ancrage du bretzel dans la région.
En effet, il y a quelques années, la région historique et culturelle Alsace s’est dotée d’un logo qui, à mon humble avis, est un des plus créatifs de la sorte.
Dès le premier coup d’œil, on y voit notre fameux bretzel alsacien. Mais pas que.
Il évoque également un cœur avec la lettre « A » à l’intérieur (la première lettre du mot « Alsace ».
Le rouge est avec le blanc une des deux couleurs que l’on associe à l’Alsace. Le rouge du drapeau alsacien, c’est la joie, la passion, la chaleur, l’action… voire le géranium qui fleuri dans de nombreux villages.
On peut enfin y voir la structure des colombages d’Alsace et celle de la coiffe des Alsaciennes.
Et puis, il n’est pas sans rappeler la communication – une sorte d’arobase [@] alsacienne !
Pour en savoir plus sur le logo et la marque Alsace.
Enfin, on a de la chance : le bretzel (alsacien ou allemand) a son propre emoji : 🥨
Le bretzel : origine latine d’un mot allemand
Vous pensiez que bretzel était un mot 100% allemand ?
Tout faux ! Car pour certains étymologistes, le mot « Bretzel » serait issu du latin populaire brachitella.
Ce mot dériverait du latin bracchium (bras) ou de braccellus (bracelet).
D’ailleurs, observez la forme bizarre d’un bretzel. Il représenterait deux bras croisés sur la poitrine. Une attitude de prière répandue pendant le haut Moyen Âge.
En effet, on apprend que l’existence du bretzel est attestée dès 743, dans les monastères de l’époque carolingienne.
Le bretzel s’accommodait très bien de ce symbole religieux. D’autant plus que ses trois « trous » évoquaient la sainte Trinité !
Les représentations de bretzel les plus anciennes
C’est justement en Alsace qu’on trouve la plus ancienne représentation du bretzel. Il apparait dans un manuscrit réalisé entre 1159 au 1173 par l’abbesse Harrade de Landsberg pour ses nonnes établies au couvent du mont Sainte-Odile. L’Hortus Deliciarum (jardin des Délices) montre une scène de la reine Esther à la table du roi Assuérus. Au menu : poisson et … bretzel !
Bien plus tard, en pleine période de la Renaissance, on retrouve le bretzel dans un tableau de Pieter Brueghel l’Ancien (1525-1569) datant de 1559 : « Le Combat de Carnaval et Carême ».
Du côté gauche, les aliments riche en matière grasse consommés pendant le carnaval. A droite, les aliments maigres des jours de jeûne (le Carême).
Vous ne voyez pas les bretzels ?
Zoomons un peu en bas à droite pour les apercevoir.
Deux sur la planche à roulettes rouges, un attaché à la ceinture d’un bonhomme puis un autre dans le sac de la damoiselle.
Le bretzel, la star du Carême
Pendant le Carême, on ne devait consommer ni beurre, ni œuf, ni viande…
Ainsi, confectionné avec les ingrédients qui étaient autorisés pendant le jeûne catholique, le bretzel était donc très apprécié.
Et du coup, il était associé au Carême avant d’être ‘laïcisé’ pour se retrouver en apéritif sur nos tables, chopes de bière et charcuteries à ses côtés !
Et dans le langage d’aujourd’hui ?
En Allemagne, on le connait sous le mot féminin « die Brezel« .
En français, c’est un nom masculin « le bretzel« … mais il apparait parfois au féminin : « je voudrais une bretzel, SVP ! »
Enfin, aux Etats-Unis, on remplace le B par un P « the Pretzel« . D’ailleurs, là-bas, on l’aime aussi salé, enrobé de chocolat.
Le bretzel et ses déclinaisons
S’il garde peu ou prou sa forme caractéristique, le bretzel alsacien ou allemand se décline en plusieurs variantes.
Le bretzel munichois ou bavarois
En allemand: der bayrischen Brezel.
Sa pâte garde la même épaisseur, y compris pour ses deux bras entrecroisés.
Le bretzel souabe
En allemand : der schwäbischen Brezel
Il comporte un bord épais et ses deux bras entrecroisés sont plus fins. L’arc supérieur est plus épais et souvent incisé avant la cuisson pour laisser apparaître une large ligne ouverte. C’est le bretzel répandu en Alsace et à Spire.
Le bretzel d’apéritif
En allemand : Salzbrezelchen
Sec et croquant, il est fabriqué industriellement. Sans hésitation, ma marque préférée est Ancel.
Les sticks (Salzstangen) sont un dérivé américain des bretzels apéritifs, introduits en Allemagne par une entreprise d’Hanovre en 1935.
Découvrez la gamme de Bretzels apéritifs Ancel ici !
La mauricette (en Alsace) et les pains de Sils (en Suisse)
Il s’agit d’une sorte de petits pains préparés à partir de pâte à bretzel. Ils ont inspiré la Moricette, une version commerciale du petit sandwich typique de la cuisine alsacienne, inventée en 1973 par le boulanger mulhousien Paul Poulaillon. En Allemagne, ils sont plus généralement connus sous le nom de Laugengebäck.
Le bretzel aux amandes
Il s’agit d’une gourmandise en pâte feuilletée recouverte d’amandes et de sucre glace. Ce bretzel aux amandes serait populaire au Luxembourg.
Les enseignes avec le bretzel alsacien
Enfin, on retrouve de nombreuses représentations de bretzels en pierre ou en fer. Ainsi, en Alsace, la corporation des boulangers arbore souvent un bretzel sur l’enseigne suspendue au-dessus de leur boutique. Quelques exemples :
Sur les volets d’une boulangerie à Colmar :
Bretzel et cetera…
Au-delà des gourmandises, le bretzel existe également en bouée gonflable géante (à commander ici) pour se la jouer sur la plage. 😂
Et il est à l’honneur dans une BD de Spirou (QRN sur Bretzelburg)
Un bretzel en guise de décoration de Noël, ça vous tente ?
Une décoration originale pour un sapin de Noël !
Comment faire des bretzels alsaciens ?
Est-ce que vous me croiriez si je vous disais que j’ai tenté la recette des bretzels alsaciens … alors que nous résidions à Sydney en Australie ?
On glane les recettes ici et là sur internet et on essaie.
La première tentative n’était pas si mal que ça… mais le plus dur était de rendre la forme qui leur est si caractéristique. Car il faut réussir le nœud au milieu du bretzel !
Pour vous aider, je ne vais pas vous montrer comment j’ai fait. Il existe de nombreuses recettes qui font un meilleur travail que moi sur Internet.
J’aime particulièrement ces deux sites :
- Leïla du blog Je vais vous cuisiner
- Le blog La Cuisine d’Adeline
Le bretzel alsacien ou allemand: pour en savoir plus
- mon article sur les meilleures gourmandises alsaciennes
- la page wikipedia sur le bretzel
- le bretzel et le carême sur le site catholique d’information Aleteia
- ‘Histoire de Bretzel’, l’article de Made in Alsace
- Quelques infos sur l’Hortus Deliciarum, le manuscrit alsacien du 12e siècle qui illustre le bretzel
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Le Rendez-Vous Inter-blogueurs #EnFranceAussi
Cet article a été publié dans le cadre du rendez-vous inter-blogueurs #EnFranceAussi. Sophie du blog Escapades Amoureuses a proposé le thème suivant pour ce mois d’octobre : « Gourmandises de région ».
Ce RV du collectif #EnFranceAussi est une belle initiative de Sylvie du blog Le coin des Voyageurs.
Découvrez les articles de ma participation à l’événement en cliquant sur le lien ici !
Le Bonus : la formidable histoire du bretzel alsacien
Il était une fois, dans un pays lointain, bien loin de Paris, un comte épris d’une demoiselle fort aimable.
Messire Jacques de Lichtenberg, surnommé affectueusement Jacques le Barbu, résidait en son château à Ingwiller en Alsace.
Sa fiancée, Barbara Breta, était douce et charmante… mais la comtesse en devenir avait un vilain défaut.
C’était une gourmande.
Mieux encore, une goulue.
Rien, mais rien de rien n’aurait pu l’empêcher de se rendre à la boulangerie du village.
Sous la pluie, elle marchait souriante, épanouie, ravie, ruisselante… à l’idée de déguster un des ces fameux kougelhofs dont le boulanger Dorebäck gardait le secret.
Ah, pour sûr, Dorebäck la gâtait en pâtisseries alsaciennes de tout genre.
Un mauvais plaisantin au triste sort
Mais voilà, le boulanger était un peu rustaud. Il n’avait pas sa langue dans la poche.
Et il se permettait de temps à autre quelques piques acérées en direction du comte.
Un jour, on entendit Dorebäck dire à un client :
« Le comte ? Bah, en plus d’être barbu, c’est un bouffon au gros nez »
Un messager vint mettre le comte au parfum…
La réaction ne se fit pas attendre.
Le comte au gros nez (car il l’avait vraiment !), ordonna que l’on arrête le boulanger sur le champ.
Car, s’il y avait bien une chose qui rendait Jacques de Lichtenberg furieux, c’était qu’on lui parle de son nez.
Au fond, il était susceptible.
Il ordonna l’exécution du boulanger pour calomnie, lequel serait pendu à la Sainte-Gudule.
Un malheur ne vient jamais seul !
Alors que le malheureux Dorebäck croupissait en prison, sa boulangerie était naturellement fermée.
Plus de pain.
Plus de kougelhopfs.
Jamais plus de gâteaux.
Ni de pâtisseries.
Les villageois, ne pouvant plus compter sur Dorebäck pour leur pain, se firent une raison.
Mais ce fut une toute autre affaire pour Barbara Breta, la future comtesse, privée de délices.
Adieu gâteaux et kougelhopfs ?
« Ah non, se dit-elle, que nenni. J’m’en vais voir le Jacquot-là et on va s’expliquer ».
Et Barbara se dirigea séance tenante vers le château comtal.
La confrontation au château
Sous la pluie, elle marchait furieuse, renfrognée, mécontente, ruisselante… à l’idée de ne plus déguster un de ces fameux kougelhofs dont le boulanger Dorebäck gardait le secret.
Au comte perché sur son trône, elle lui tint à peu près ce langage :
« Dis le Jacquot, faudrait p’têt ben trouver une solution-là, car les privations en tout genre, ça suffit ! »
« Ma chère et tendre Barbara, lui répondit son amant, sache que le boulanger l’a cherché. Il m’a manqué de respect et son impertinence ne peut rester impunie ».
« Dans ce cas, le mariage, toi et moi, c’est fini ! », menaça la damoiselle.
Le comte fut abasourdi par ce qu’il venait d’entendre.
Se pourrait-il que sa fiancée aima davantage les gâteaux que lui-même ?
Or, il n’y avait pas plus jolie fille – intelligente de surcroît – dans tout le comté. Il lui fallait garder sa fiancée coûte que coûte, tout en sauvant la face.
Un défi insurmontable
Soudainement, une idée machiavélique lui traversa l’esprit.
« Soit ! J’épargnerai le boulanger à condition qu’il invente la recette d’un pain à travers lequel on peut voir le soleil briller trois fois ! S’il réussit dans les sept jours, il aura la vie sauve et sortira de prison. Sinon, il sera mis à mort ».
Satisfaite, Barbara demanda la permission d’informer le prisonnier sur son sort. Le comte lui accorda cette faveur.
La damoiselle, oh combien compatissante (et désireuse de revoir ces bons gâteaux) expliqua à Dorebäck ce qu’il devait faire pour avoir la vie sauve. Ainsi, dès qu’il aurait une idée du-dit pain, on mettrait les cuisines du château à sa disposition.
Une fois Barbara partie, Dorebäck désespéra sur son sort.
Un pain à travers lequel on peut voir briller le soleil par trois fois ?
Nan mais, allô quoi ?!
C’est qu’il en avait fait des pains et des gâteaux.
Sa vie se résumait à un florilège de pains de toutes sortes, de gâteaux et de pâtisseries alsaciennes.
Mais, croupissant dans sa geôle, l’inspiration lui fit cruellement défaut.
Perdant espoir dans un confinement le plus total
Et ainsi confiné, il perdait tout espoir de revoir sa boulangerie.
Six jours passèrent.
Le prisonnier se morfondait de cesse : « Ah, mais pourquoi ai-je eu la langue si pendue ? »
Et il pleurnichait.
Il se lamentait.
Et ça gémissait.
Tant et si bien que son propre geôlier était au bord de la crise de nerfs.
Bobby, l’homme de la situation
Bobby (c’était son nom), était un malabar bâti comme une armoire à glace, originaire du village voisin d’Uttwiller. Il avait pour tache de garder la prison du château comtal.
Il s’en accommodait fort bien et avait un mental d’acier, restant insensible au désespoir des captifs confinés dans leur cachot.
Mais toutes ces journées et ces nuits passées à entendre gémir Döreback – ah, comment vous dire – c’était devenu intenable pour Bobby.
Au petit matin du septième jour, il ne tint plus.
D’une main de fer, il arracha un barreau du cachot et le tordit dans tous les sens en beuglant : « Mmmrrrrhââââhhhh ! »
De sitôt, Dorebäck effrayé se tut.
Eurêka !
Une fois la crise de nerf de Bobby passée, le boulanger leva les yeux vers le barreau tordu. Son visage s’illumina et il s’écria :
« Dans mes bras mon sauveur ! »
En tordant le barreau dans tous les sens, notre colosse avait formé une figure au travers duquel… on pouvait voir trois fois le soleil !
Le geôlier conduisit Döreback dans les cuisines du château.
Vite, il n’y avait plus de temps à perdre…
Une dernière épreuve
Dès potron-minet, il commença à travailler la pâte puis à former un cercle. Puis il croisa les deux extrémités de façon à obtenir le résultat tant espéré. Un pain avec trois ouvertures… duquel on pouvait effectivement voir le soleil briller une… deux… trois fois !
Au moment d’enfourner les pains, Félix le matou, curieux comme un chat, fit malencontreusement tomber les pains dans un seau rempli de saumure.
« Rrognntudjuu ! »
Bobby vint à la rescousse du félin : « Allons, Döreback, il n’y a pas de quoi fouetter un chat. Pressez donc et enfournez les pains ! ».
C’est qu’il avait raison. Le boulanger ne pouvait pas perdre de temps à courir après un chat tout en préparant une autre fournée.
Une quinzaine de minutes plus tard, Döreback sortit les pains du four.
Et là, stupéfaction !
Le bicarbonate de sodium avait donné une jolie couleur ambrée aux petits pains en forme de nœud.
Il les parsema de gros sel puis, son plateau dans les bras, il fit une entrée remarquée auprès du comte.
Une fin heureuse
Jacques le Barbu fut consterné devant la trouvaille du boulanger.
Et tint sa promesse en graciant Döreback.
Ainsi, ce dernier put sortir de son confinement et retrouva sa liberté…
Il se précipita dans sa boulangerie pour confectionner pains, gâteaux et pâtisseries.
Pour la plus grande joie des villageois.
Et de Barbara Breta !
Il n’oublia pas le fameux petit pain tordu et salé qui lui avait sauvé la vie, et lui donna le nom de Breta-Sel, ou Bretzel, en l’honneur de la future comtesse.
Quant au comte, il avait dans le fond sauvé la face… et gardé sa fiancée.
On peut aisément deviner quel mets fut à l’honneur au banquet du mariage : le bretzel, pardi !
Petite anecdote
Döreback n’avait pas apposé de copyright sur sa recette de bretzel. Ainsi, plusieurs boulangers d’Alsace et d’Allemagne se l’approprièrent au fil des siècles, notamment ceux de la ville wurtembergeoise de Bad Urach. C’est ce qui explique qu’aujourd’hui, on ne sait plus très bien qui en est l’auteur…
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Vous souhaitez lire une version plus « sobre » de cette histoire ? Lisez-la sur Le Jardin des Poêtes.
Même s’il n’y a pas de certitudes sur l’origine de la bretzel (Allemagne, ou Alsace) une chose est sûre c’est qu’elle aura toujours de beaux jours. Merci pour toutes ces explications fort intéressantes !
Avec plaisir Martine… hâte de lire ton article sur les calissons d’Aix ! 👋
belle histoire!
Merci ! 👋
Chaque fois que je vais en Allemagne j’achète des bretzels ! Tellement bons. Mais je ne m’étais jamais posée de questions sur les origines. Merci pour toutes ces explications.
Avec plaisir ! En fait, les choses qui paraissent parfois insignifiantes ont des histoires passionnantes à raconter ! 🙂
Je gouterais bien la version aux amandes!
Ca, c’est une bonne idée ! 😋
Miam enfin surtout la grande version en mo mdr pain parce que le petit truc tôt sec de l’apéro, bof bof ! Merci pour cette chronique ! 🙂
Merci Anne ! C’est sûr, le vrai grand bretzel bien frais, c’est le meilleur ! 🙂
Je ne connaissais rien de l’origine du bretzel et j’ai été captivée par son histoire. Vu ma position, je connais plutôt le bretzel new-yorkais mais j’ai maintenant bien envie de goûter l’alsacien!
Merci Annabelle ! Je n’ai encore jamais goûté au Pretzel New Yorkais… mais j’imagine que son goût doit se rapprocher de l’alsacien ! 🙂
Bravo Pierre pour ce dossier très fouillé et très complet sur ce sujet avec toujours de magnifiques photos. De l’hortus deliciarum à Brueghel et Spirou, vous avez fait découvrir le bretzel là où on ne l’attendait pas. André
Merci beaucoup André ! Et du coup, j’ai complètement oublié de déguster un bretzel lors de mon dernier passage en Alsace ! 🙂
Je t’avoue que je ne me suis jamais posée de questions à propos de l’origine des bretzels!! Mais maintenant je sais tout!! 🙂
Autant je n’aime pas trop les petits bretzels d’apéros, autant j’adore aller sur les marchés de Noêl pour déguster les plus gros!! j’adore les petits cristaux de sel dessus!!
Merci pour ta participation toujours très riches en informations.
Oh merci beaucoup Sophie ! J’ai pris énormément de plaisir à participer à ce thème… le plus dur était de choisir le sujet 🙂
Bonne semaine à toi et à bientôt 👋
merci pour la découverte et l histoire du bretzel
oups pr ma seule visite en Alsace je n en ai même pas mangé
Voici une bonne raison de revenir visiter l’Alsace 🙂
Une super découverte que l’histoire de ce bretzel ! Un grand merci pour cet article très documenté (comme d’habitude) et riche d’informations. Il y a dans ma ville picarde un stand de bretzels garnis lors du marché de Noël et c’est devenu une habitude, avec une collègue, de nous en acheter un.
Avec plaisir Delphine ! 🙂